RPG Saint Seiya: Le monde des ténèbres
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 La pousse d'Exuperance

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2 participants
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Yoruichi
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Yoruichi



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MessageSujet: La pousse d'Exuperance   La pousse d'Exuperance EmptyDim 11 Oct - 17:51

Vous: 

En quelques mots: Lucile, 25 ans et presque toutes mes dents. J'ai fait pas mal de rp papier et j'ai été sur le forum de Kh kanak (aujourd'hui disparu). J'ai beaucoup lire et regarder des animés. Que ce soit du Disney, du Myazaki ou des animes, tant que c'est en VOSTFR (pas de VF par pitié). J'aime la musique et écrire des histoires (même si j'ai été peu dans l'écriture pour cause de panne d'inspiration). J'aime beaucoup m'évader dans divers mondes, d'où ma présence ici.

Camp(s) désiré(s): Je me sens assez proche du monde d'Hadès. Je pense aussi que c'est le camp qui sied le mieux à mon personnage. L'idéologie d'Hadès est celle qui me « parle » le plus

Armure désirée: Phrégias du Lycaon de l'Étoile céleste du crime (ou de la punition)

Description de l'armure visée prioritairement: 

Phrégias du Lycaon est une armure sombre. Composée essentiellement d'obsidienne, j'aime la sensation soyeuse qu'elle renvoie et l'opacité du noir. J'aime le design épuré qui me fait rêver.

Pouvoir imaginer que mes avant-bras soient recouvert de mes premières phalanges jusqu'à la moitié de mes bras me ravis. Cela donne une impression de gant de satin, le rendu me fascinera toujours.

Recouvrant le crâne, le casque donne une impression appuyée de démon. Trois cornes relevées d'obsidienne sont présentes. Une arrivant au centre du visage et deux au niveau des tempes. Sur lesquelles on peut observer rois petits squelettes : le premier se couvrant la bouche, le second ses yeux et le troisième ses oreilles

Les épaulières, aux motifs anciens gravés dans de l'améthyste taillée à cet effet, forment des plumes qui voient leurs bases rattachés au plastron couvrant donc, le torse et le dos. La pierre violette accentue l'ébène de l'obsidienne en l'allégeant malgré tout un peu l'ensemble.

L'améthyste, présente sur l'ensemble du plastron continuent ses motifs de sorte à rendre le tout fluide et joli.

Sur le-dit plastron, au niveau des omoplates, début deux grandes ailes semblables à celles des corbeaux. L'ébène est seule maîtresse ici. Les plumes agrandissent et affinent le reste de l'armure tout en lui donnant cet aspect « ange déchu » qui m'est si familier.

La plastron a une découpe me rappellant les queues-de-pie. Deux... pétales dirais-je, retombent de part et d'autre de mes hanches, donnant l'impression qu'ils vont virevolter si l'armure tourne sur elle-même.

Pour finir, j'aime l'idée des cuissardes. Beaucoup la retrouve sur les tenues de protection actuelles mais j'aime particulièrement celles-ci. Bien évidemment elles couvrent jambes et mi-cuisses mais c'est le rendu toujours aussi satiné qui me plait. Que ce soit l'idée que cela moulera les cuisses ou le fait que mes pieds ressembleront à des griffes, tout m'enchante. J'apprécie particulièrement les plumes brûlées au niveau des tendons d'Achille qui rappelle à la fois l'oiseau mais aussi la Mort.

Personnage:

Nom Prénom (et éventuellement surnom de votre perso): Yoruichi. Je ne me souviens pas de mon vrai nom, trop de temps s'est écoulé pour que je me remémore aussi loin.

Particularité: J'ai une mutiltude de petites cicatrices sur le dos et un tatouage sur mon avant-bras gauche représentant une lame avec des gouttes de sang.

Description physique de votre personnage:

Physiquement, je suis innocente et banale. Rien de bien important à dire. J'ai longtemps amélioré ce côté Madame-tout-le-monde afin de pouvoir être parée en toutes circonstances. Je donne une impression de candeur si je reprends les paroles de ma Maîtresse.

Je mesure un petit mètre soixante pour un poids variable. J'estime n'être ni trop grosse ni trop maigre. C'est une façon de décrire qui me correspond assez bien d'ailleurs. Pas trop grande ni trop petite, pas trop belle ni trop moche. Toujours du « ni trop ni trop peu ». Je porte généralement des pantalons noirs en tissus simples avec des bottines sombres. Des fois noires, des fois marrons, tout dépend de celles que j'attraperais en premier. J'ai des cheveux mi-longs, en carré plongeant avec une mèche qui couvre une partie de mon œil gauche. J'ai toujours sur moi une barrette pour pouvoir me battre si besoin. En haut, je porte généralement un t-shirt à manche courtes, recouverte d'une veste en cuir noire cintrée.  

J'ai un visage assez fin, assez enfantin en fait. Mon visage est lisse, ma peau satinée, comme celle des enfants. Mes yeux sont en amande, montrant aux autres mes origines métissées. Mes yeux et ma peau légèrement bronzée. J'estime avoir un air neurtre voir ennuyé collé sur mon visage qui ne montre plus rien. Pareil du côté de mon regard, j'estime que mes yeux noisettes sont morts, éteins, vides. Je peux les « rallumer » cela restera de la comédie. Malgré mon quart de siècle, on m'en donne tout juste vingt, c'est frustrant. Bon d'accord, j'ai pris le coup avec le temps...


Description de la mentalité de votre perso:

Je pense être une poupée. Je ne ressens plus rien, ou plus rien de bon si je puis dire. Que j'aime ou non, peu importe. Je suis morte. J'aime jouer la fille simplette, l'oie blanche. C'est quelque peu drôle. Et ça change mon quotidien.
Dans l'absolu, j'aime être seule. C'est plus simple de n'avoir que moi à gérer. Les autres... Les Hommes ont tendance à m'insupporter. Toujours à se plaindre de la Guerre mais ils continuent de créer des armes qui alimentent ces Guerres.
Donc je tue. Pas forcément tous les Hommes que je croise mais ceux qui sont des Monstres parmis les Hommes. Tous ceux que leur Justice ne condamnent pas. Les politiciens pour ne citer qu'eux.

Enfin.
Pour eux je suis une mauvaise personne, considérée comme une … comment disent-ils ?... Ah oui, « tueuse en série ». Je n'ai pas de nom. J'ai repris la légende de ma Maîtresse, ils m'appellent donc « Widow » puisque ma Maîtresse aimaient se rapprocher – de trop peut-être- de ses victimes. Elle en a épousé un certain nombre et, sans aucun doute, a couché avec chacune d'entre elles. Avant de trépasser, cela va s'en dire. Remarquez que si c'était après, je ne suis pas au courant et je ne veux pas l'être.

Histoire de votre perso:

Mes souvenirs sont plutôt flous en ce qui concerne mon enfance, je n'ai pas beaucoup de souvenirs datant d'avant ma dixième année. Je me souviens du visage de mes géniteurs, quelques fois je peux rêver de la voix de la femme qui m'a mise au monde mais je n'ai que peu de vrais souvenirs.
Je saurais vous dire que j'ai un grand frère et qu'on avait un chien blond. Labrador ou Golden Retriever, je ne sais pas.
Par contre, je me souviens parfaitement de ce jour, prémice de ma mémoire.

Lors de mon dizième printemps, alors que j'étais dans un champ de fleurs, je discutais avec un autre enfant, une fille aux cheveux longs et roux. Nous étions assises et un coup de vent à fait virevolter sa chevelure, lui donnant un aspect enflammé. Je me souviens vaguement de son visage, rayonnant. Elle n'était pas spécialement belle mais son expression irradiait la joie. Oui, le sourire était ce qui lui seyait le mieux. Ce jour-là, sa robe était sale, ses genoux fraîchement écorchés témoignaient à eux-seuls de l'amusement de l'instant...  Il y avait une petite bourgade non loin, je suppose que c'est mon village natal. Quand nous sommes rentrées, il commençait à faire sombre mais le village était très éclairé. Il nous a fallu quelques minutes pour réaliser qu'il était en flammes.
Je me souviens de corps méconnaissables, calcinés, la peau fondue, les cheveux disparus...
Devant le feu, elle n'avait rien dit. Pas de cris, pas de larmes. Mais, dans mes souvenirs, quelqu'un hurlait.

Même aujourd'hui,  j'ignore ce qui a déclenché un tel enfer, une telle fournaise.

Un homme est arrivé et nous a emmené avec d'autres enfants dans un endroit qu'il disait être sûr. Et nous l'avons suivi. Il nous expliqua que tous les villageois qui avaient réussi à fuir étaient là-bas. Il avait un sourire chaleureux, quoique un peu forcé. Et nous, pauvres gamines choquées et tristes, avons attrapés cette main tendue.
Je pense qu'on a dû y retrouver une dizaine d'enfants. Peut-être moins, sûrement plus.
Je suis montée dans le véhicule avec mon amie, qui espérait revoir ses parents. Comment s’appelait-elle déjà ?

Je n'ai rien dit tout le long du trajet. Aucun de nous ne l'a fait d'ailleurs. En fond, on entendait la radio qui grésillait par à-coups. Je me souviens que je tenais fermement la main de la fillette, perdues toutes les deux dans nos pensées.

Lorsqu'on a pu descendre, nous étions devant un immeuble. Des femmes, toutes de couleur vêtues, nous ont accueillis. Je n'aimais pas leurs sourires. Faux. Vides. Éteins.
Ils nous demandèrent de patienter pendant qu'ils retournaient chercher les survivants. Et nous avons attendus. Au début, nous étions traités correctement. On nous logeait, nous nourrissait, on jouait avec nous et on patientait. Les jours passaient inlassablement. Notre mode de vie devenait de plus en plus précaire. Mon amie parvenait de moins en moins à rester calme et la fréquence des sautes d'humeur des enfants, que nous étions, augmentait chaque jour passant.
Avant d'avoir pu le réaliser, nous étions cloîtrées dans nos chambres avec les mêmes absurdités répétées chaque foutu jour. Quelques nuits, elles résonnent encore en moi...
« Sans nous, tu n'es rien »
« Tu nous dois tout, exprime donc ta reconnaissance »
« Tes parents sont morts, tu n'as que nous »

Entre le lavage de cerveau, la solitude et la drogue, les jours se suivaient et passaient sans que l'on ne s'en rende compte.

Cela a tellement bien fonctionné que, malgré la lucidité morbide qui restait en moi, j'ai fini par oublier mon nom, ma date de naissance, les visages de mes parents. J'oubliais la date, l'heure, le lieu où j'étais...
Lors d'un « contrôle médical » on m'annonça que j'étais malade. Que ma déprime et mes pleurs étaient dûs à mon mal et que, sans traitement, je ne soufflerais pas 15 bougies.

Une fois mon esprit affaibli, a combativité s'est effritée. Dès lors, j'ai arrêté de protester même si j'ignore encore comment j'ai pu garder toute ma tête. Après ma capitulation, on m'a régulièrement apporté des pilules qu'on me faisait avaler. On m'annonçait que c'était mon médicament, que je devais les prendre pour ne plus souffrir. Et cela marcha un temps...

A l'époque je ne connaissais rien à la vie mais une chose reste gravée dans ma mémoire. On m'a laissé seule avec cet homme. Il était grand, adipeux et je n'aimais pas du tout ses yeux. Il me faisait peur. Il me touchait à des endroits...

Je me souviens encore de son râle quand il me pénétra, de ma douleur et de son cri de jouissance...

C'est le première fois que je ressentais autant de douleur, autant de haine, autant de colère. Si tous les Hommes sont comme eux, pourquoi devrait-on vivre? Pourquoi devrais-je vivre avec Eux? Ne pourraient-ils pas tous crever?


Je l'ai rencontré dans une ruelle. Rien de joyeux, rien de beau. J'étais là, debout, à attendre. Comme tous les jours. J'étais à peine formée, une enfant chez les adultes. J'avais un joint à la main lorsqu'une femme m'a abordée.
Faisant la professionnelle depuis quelques années, j'avais l'habitude d'être abordée. Par des hommes, par des femmes. Elle était grande, belle, de jolies formes. Elle avait une cigarette éteinte entre son majeur et son index et me demanda si elle pouvait m'emprunter mon briquet. D'un geste las je le lui ai donné. Mes yeux morts observait ses talons plats, son jean serré et son haut moulant. Bien que très jolie, une sorte d'aura sexuelle se dégageait. Elle était sexy mais pas vulgaire.
Elle m'a suivi dans l'appartement qu'on me prêtait pour faire mes affaires. Elle s'était assise sur le lit et m'avait posé des questions. Beaucoup de questions sur ce que j'aimais, ce que je faisais, pourquoi, comment. Elle s’appelait Lauriana. Je ne savais pas grand chose de plus.

A la fin de la séance, elle m'accompagna pour rencontrer les hommes qui « m'aidaient » à survivre.
Elle me demanda de rester dehors, ce que je fis. J'ai roulé un nouveau joint.
Lorsqu'elle est ressortie, cela sentait le fer. Elle a prit ma main et m'a emmené. Je n'avais ni la force, ni l'envie de savoir où.
Gentiment, elle m'a acheté de quoi me vêtir, elle m'a cultivé, m'a donné des notions de Bien et de Mal, m'a appris à me battre. Je lui dois tout.
Moi, qui n'étais rien, je suis devenue quelqu'un. Pas forcément très important mais j'existais. Je pouvais lui dire non. C'était une notion que je n'avais pas. Par ailleurs ; je n'avais pas grand chose. Elle m'a appelé Yoruichi, m’appelait surtout « Yoru » et m'a donné une date de naissance.

Au départ, elle me nourrissait assez pour que je prenne des formes, me donnait des livres et me laissait tranquille. Elle souhaitait que je m'habitue gentiment, sans me presser.

Et puis, lors de mes premiers entraînements, elle réalisa que j'avais une certaine dextérité et un maniement des armes assez correcte. Néanmoins, je n'avais aucune autre facilité. J'étais banale. Tellement banale qu'elle mis un certain temps à trouver ma voie.

Elle m'avait expliqué qu'elle était affiliée au Dieu Hadès, que le but de ce dernier était de purger les Hommes. Et qu'elle souhaitait que je devienne son élève.
Elle m'expliqua qu'elle souhaitait également une Purge. Mais pour que les Hommes recommencent à croire aux dieux. Au lieu de simplement tuer les infidèles qui ont jeté notre Dieu dans l'oubli, elle souhaitait rendre Justice afin que les Hommes croient de nouveau en Lui.

Elle m'appris à manier des lames. Fines, grosses, incurvées ou non, empoisonnées ou saines. Elle me fit travailler mon agilité et ma discrétion, ma retenue. Elle m’appelait son petit assassin.

Les années passèrent. Et l'assassin qu'elle imaginait devint réel.

Finalement, elle finit par se volatiliser. Elle ne me laissa rien, pas de mots, pas d'explications. Mais je n'étais plus seule, je n'étais plus désarmée. Je savais me battre, je savais fuir, je savais survivre.

Enchaînant diverses missions afin d'obtenir argent et expérience, je finis par trouver un job de mercenaire. Rien de bien difficile, je me devais de remplir des conditions pour toucher le salaire.

La dernière mission que j'ai faite, finie il y a à peine une semaine, était l'une d'entres elles. Je devais protéger un marchand. Loin de m'enchanter, j'acceptais néanmoins, devant payer malgré tout mon loyer et espérant pouvoir retourner sur un contrat plus gros dès que la mission finirais.

Lorsque j'arrivais près de l'habitation du marchand, après avoir fait le tour du propriétaire, je réalisais que je devrais supporter cinq hommes. Tous plus grands et plus musclés que moi. Me présentant au marchand, je les vis sourire lorsqu'il me virent. Je savais que j'entendrais des réflexions. En même temps, je ne suis qu'une faible femme, pourquoi étais-je ici... Bla  bla  bla...

Trois jours passèrent. Rien à l'horizon et j'étais pressée de partir. Qu'il vive ou non, peu m'importait. Je voulais tuer, je voulais être loin de cet être.

Les réfections misogynes commençaient à me chauffer et l'envie d'en tuer un ou deux me démangeait de plus en plus. Je repensais à la Purge que désirait Hadès. L'idée me tentait tellement. Mais l'idée de perdre beaucoup d'êtres humains car ils ne croient plus dans les divinités me paraît trop exagéré. Cependant, l'idée de Purge est intéressante. D'abord je commencerais par éliminer les Monstres parmi les Hommes. Après, je verrais.
Enfin, elle arriva. L'ennui était là. Comme tous les jours, j'étais à la droite de l'être commerçant. Trop gros et la peau rougit par l'alcool, j'espérais tellement que quelqu'un attaque, me libérant de cette mission atrocement ennuyeuse.
La lampe s'éteignit d'un coup,  sans prévenir et je sentis un courant d'air m'indiquant une effraction. La lame de ma Maîtresse arriva dans ma main rapidement et je me mis en position pour attaquer. L'un des hommes ouvrit la porte et j'observais le sang qui coulait de ses côtes. La femme se dirigeait vers la fenêtre, menant à la mer. Je m'avançais pour l'attaquer sans motivation et m'écroulait sous une balle qui me toucha à l'épaule.

Je vis la femme sauter et m'évanouis sous la douleur, maugréant une insulte.
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MessageSujet: Re: La pousse d'Exuperance   La pousse d'Exuperance EmptyMar 1 Déc - 12:45

I- Avis:

FAVORABLE

II- Rang:

Gold

III- PX gagnés:

58 xps.

Dois je changer ton pseudo?
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Yoruichi
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Yoruichi



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MessageSujet: Re: La pousse d'Exuperance   La pousse d'Exuperance EmptyMar 1 Déc - 19:38

Yeah!!!

Bah écoute ouai si tu peux, mettre Yoruichi en pseudo ce serait niquel...

Merci!!

Exu'
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MessageSujet: Re: La pousse d'Exuperance   La pousse d'Exuperance EmptyMar 1 Déc - 21:40

Ca marche^^
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MessageSujet: Re: La pousse d'Exuperance   La pousse d'Exuperance Empty

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